Un de plus
29 août 2025
Une petite dédicace a Mr belami qui m'a écrit un récit qui ne m'a pas laissé indifférente et une suite dans la catégorie couple si l'album est accepté
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Belami
5 septembre - 20h25
Coucou Chatmignon, voilà la suite promise. J'espère que tu prendras autant de plaisir à la lire que j'en ai pris à te l'écrire.. . . . . Nos jouissances respectives avaient peut-être atténué momentanément notre fougue mais pas nos envies. Instinctivement, tu te tournas vers ton chéri, déposas tes lèvres sur ses lèvres et s"ensuivit un long et ardent baiser. D'une main volontaire, tu t'emparas de son sexe et le masturbas méthodiquement. Après quelques minutes de se travail de sape, l'effet escompté arriva. Il bandait comme un taureau, alors il se dégagea de ton emprise, se plaça derrière toi comme je l'avais été précédemment et te positionna face à moi. Ainsi offerte à mon regard, je pus te contempler à loisir. Ton corps nu, immobile, offert, m'emplit d'une tension fébrile, d'autant plus que je sentais l'acuité de ton regard sur ma queue tendue comme un arc. L"alchimie opérait et mon corps bien qu'abandonné, se mettait à vibrer. Je vous matais tous les deux et suivis avec intérêt le mouvement des mains de ton homme sur ta poitrine. Lorsqu'il saisit tes tétons entre pouce et index, tu laissas échapper un premier gémissement. Ta bouche frémissait comme si tu voulait dire quelque chose. Je ne m'aperçus pas tout de suite que tu ne tenais plus en place et que tu brûlais de venir toucher mon corps. Ton homme le comprit immédiatement. Il lâcha ta poitrine et te murmura à l'oreille : "Vas-y, fais-toi plaisir". Tu t'avanças vers moi et t'agenouillas. Devant tes yeux se dressait un splendide sexe en érection alors que mon cœur battait la chamade. Sans aucunes sollicitations, elle frappait l'air dans le vide. Une perle de rosée d"amour perlait sur le méat. Tu saisis la bête qui laissa échapper un filet de mouille. Impossible de t'empêcher de présenter ce gland dégoulinant à tes tétons. Tu les frottas avec jusqu'à ce qu'ils soient bien durs et turgescents. Affolé par cette caresse, mon désir se manifesta par de violents soubresauts de ma queue alors tu désiras la sucer. D'abord tu eus du mal à l'incliner vers ta bouche tellement elle se cabrait contre mon ventre, mais à cœur vaillant, rien d'impossible. Lorsque tu commenças à la pomper, à l'ardeur de ta bouche sur ma verge, je perçus que ton désir n'était pas feint. Alors imagine ma frustration lorsque tu stoppas nette et te relevas. Tu te tournas vers ton chéri dont l'érection n'avait rien à envier ) la mienne, lui fit d'avancer vers nous et dis : Venez mes étalons, nous serons plus confortablement installés au salon". Joignant le geste à la parole, tu saisis chacune de nos bites et nous guidas jusqu'au canapé. Tu nous installas côte à côte et t'éloignas de nous pour prendre une des plumes d'autruche fichée dans un vase sur le guéridon, puis tu te rapprochas et t'agenouillas devant nous. Tes yeux malicieux étaient remplient d'étoiles scintillantes, tu semblais fasciner par ces deux belles queues qui t'étaient offertes.. Tu commenças par caresser l'intérieur de nos cuisses avec cette plume. Pour ma part, mes jambes se refermaient et s'ouvraient, prises dans l'opposition de la recherche de la volupté et du rejet de l'insupportable. Ton chéri semblait insensible à cette torture, alors tu saisis sa queue de ta main libre, commenças une douce masturbation sans pour autant me délaisser. A présent, tu ne le ménageais plus, tu le branlais à toute vitesse et lui, surexcité, ne pouvait dissimuler son plaisir. Ses borborygmes en attestaient, il était aux anges alors que moi, j'étais au supplice. Un supplice non moins jouissif, mais un supplice quand même. Voyant la bite de ton chéri se tendre un peu plus, tu sus qu'il allait cracher son venin alors tu stoppas tes va et vient. "Non, non, non, pas ça" s'écria t-il et instinctivement, il donna quelques coups de rein dans le vide. Au bord de l'éjaculation, sa frustration fut énorme. Sur ton visage, se dessinait un sourire pervers. Tout cela t'émoustillais au plus haut pont et tu sentis la cyprine couler entre tes cuisses. Tu prenais ton pied à nous imposer ta loi. Déconcentrée par l'état dans lequel tu venais de mettre ton homme, j'en profitai pour te subtiliser la plume des mains et immédiatement la retournai contre toi. Je commençai d'abord par redessiner le contour de tes magnifique seins s'étalant sur ta poitrine et lorsque je m'attardai sur tes mamelons gonflés de plaisir, des frissons se répercutèrent sur tout ton corps. Tu esquissas un mouvement de la main pour chasser ce diabolique supplicier mais plus rapide que toi, ton chéri qui suivait la scène te saisit le poignet au vol. Content de pouvoir prendre sa revanche, il t'interdit ainsi de te soustraire à cette démoniaque caresse. Pourtant, tu essayas par tous les moyens de te dérober à ce tourment, mais impossible, le "châtiment" que tu pensais nous imposer venait de se retourner contre toi. Tes petits cris mêlés à tes rires nerveux finirent par laisser place à de doux gémissements. D'étonnantes vibrations de plaisir irradiaient tes seins et ton entrecuisse. J'agissais sur toi avec attention, envahi par le plaisir que je te donnais. Plusieurs fois, je vis ton homme pincer subrepticement tes tétons et les étirer avec perversité. Depuis la sortie de la salle d'eau, la tension en toi ne faisait qu'augmenter. Tu n'en pouvais plus, tu désirais secrètement qu'un de nous deux te prenne. Alors que tu allais nous le demander, ton chéri se leva, s'allongea entre tes cuisses grandes ouvertes, le visage juste au dessus de ta chatte. Le contact de ses mains sur tes cuisses te firent trembler et le plaisir s'est très vite dessiné lorsqu'un de ses doigts te pénétra. Un doigt qui te fouilla le cul avec habileté après s'être bien lubrifié avec ta mouille. A peine tu sentis sa bouche sur ta chatte que tu fus submergée. Tu allait bientôt jouir. Prenant tes seins à pleines mains, tu les compressas et la vague est venue comme annoncée, puissante, ravageant tout sur son passage. Il ne pensait pas que tu viendrais si vite mais accueillis ton plaisir avec de grandes lapées. Je fus impressionné par ta capacité à couler comme une fontaine. J'aurais tant voulu être à sa place pour me délecter de ton précieux nectar. Sans force tu t'allongeas au sol, jambes grandes ouvertes à ma vue. Je m'approchai de toi et déposai de doux baisers sur ton corps, te ramenant peu à peu à la vie. Le visage encore humide de ton plaisir, ton chéri vint sur toi, échangea un long baiser et sans prévenir, t"empala d'un grand coup de rein. Un cri s'étouffa dans sa bouche. Ton souffle se fit court, ta tête fut secouée par le pilonnage en règle que te t'offrait ton mec. Le plaisir grondait à nouveau entre tes cuisses et se fut le moment qu'il choisit pour sortir de ton vagin. Il prit sa queue et frotta ta chatte trempée avec son gland. Je vis ton clito s'ériger et lorsqu'il l'astiqua de droite à gauche, tu râlas puis il se ré-empala sans crier gare. Tu émis un feulement bestial et lorsqu'il reprit sa cadence effrénée, tu voulus voir mais tu n'avais plus assez de force pour soulever la tête, ton orgasme approchait. M'apercevant de ta veine tentative, je me plaçai de façon à relever ton visage. Ce que tu vis te précipita encore un peu plus vers la jouissance. Ce sexe que tu ne pensait ne jamais avoir vue aussi gros entrait et sortait de toi à vive allure, ravageant ton vagin. Il te labourait les entrailles, son pubis s'écrasait sur ton clito à chaque coup de rein. Pour ma part, je ne pus résister résister plus longtemps. Libérant une main, l'autre te soutenant toujours, je pris un de tes tétons pour le pincer, l'étirer. Tu regardais abasourdie l'étirement impressionnant. Lorsque je le lâchai, tu émis un grognement rauque. Je fis de même avec l'autre, puis le relâchai et à nouveau un grognement rauque sortit de ta bouche. Ta poitrine était vraiment magnifique, avec ses aréoles brunies par l'afflux de sang et ses tétons pointant fièrement. Tu commenças à perdre pied sous les coups de boutoir lancinants et ton plaisir monta, monta, monta. . . L'esprit embrumé, tu vis ma main glisser le long de ton ventre, atteindre ton pubis et lorsque mon index approcha de ton clito, ton réflexe fut de me crier : "Non, non, non, non, non". Trop tard, le contact t'envoya une décharge électrique dans tout le corps et après seulement deux ou trois aller retour appuyés, l'onde de l'orgasme se propagea en toi te faisant crier ta jouissance dans d'incontrôlables spasmes. Étranglé par les contractions de ton vagin, ton chéri éjacula. Secouée par ton orgasme tu sentis les jets puissants de sperme chaud s'écraser au fond de ta chatte. L'orage passé vous avez basculé lentement, enlacés l'un contre l'autre, l'un dans l'autre. Je repris ma place sur le canapé et vous laissai savourer ce moment d'intimité. Après cette accalmie, tu vins vers moi et t'excusas de ne pas avoir eus la force de me branler pour me faire jouir sur tes seins. Je te rassurai immédiatement en te disant que certes je n'avais pas joui mais que j'avais tout de même pris beaucoup de plaisir à vous voir faire l'amour. Je t'avouais même que j'aimais beaucoup voir une femme jouir et peu importe la façon. Pendant que nous discutions, tu te rapprochas de moi et te mis à califourchon sur mes cuisses. La chaleur de ta main glissant sur mon torse me troubla et lorsque tu effleuras mon membre, tu m'arrachas un soupir d'aise. Mon sexe bien qu"au repos n'avait pas encore repris sa taille initiale. Il avait encore une taille et une épaisseur bien plus qu'honorable et tu me le fis remarquer. Je te répondis que tu en étais l'unique responsable. A peine avais-je terminé ma phrase que tu l'avais déjà en main. Mon cœur s'accéléra et je pris une profonde inspiration. Tu t'amusas de la scène, tout en éprouvant un sentiment de fierté en constatant l'effet que tu produisais sur moi. Tu décalottas le gland et trouvant que celui-ci n'était pas assez lubrifié, tu glissa ta main entre tes cuisses, t'introduisis trois doigts dans la chatte et te masturbas quelques instants. J'entendais le sons des clapotis et lorsque tu les ressortis, ils étaient tout englués de mouille. Ce spectacle me fila une trique d'enfer. Tu étais étonnante, parfois tu avais des gestes de pudeur ridicules alors qu'à d'autres moments tu étaient d'une impudeur totale. J'adorais ce contraste chez toi. Toujours est-il que tu enroulas tes doigts autour de mon gland et entrepris de les faire tournoyer. Englués de cyprine, ils glissaient, exécutant un balai infernal dont toi seule avais le secret. Lorsque tu t'attaquas au frein, je grognai de satisfaction et lorsque tu te mis à jouer avec ton ongle sur le méat je crus défaillir. Sans faire un seul va et vient tu me faisais bander à mort. J'étais sur le point d'exploser lorsque tu vins te mettre à genoux entre mes cuisses et présentas tes seins à ma bite, j'ai su que si tu me masturbais dessus, je ne mettrais pas très longtemps avant de te les arroser copieusement. Ce fut le moment que ton homme choisit pour faire son apparition. Il dit : "Amour je ne trouve pas les verres à champagne, tu peux venir m'aider". Je lus sur ton visage que ta déception était à la hauteur de la mienne. Depuis notre rencontre sous la douche, tu rêvais de me voir éjaculer sur tes seins alors c'est donc à grands regrets que tu lâchas ma queue pour suivre ton chéri. Mais avant, une fois debout, tu la repris en main, déposas un baiser sur le gland, l'enroulas de ta langue puis aspira toute la mouille qui s'échappait du méat. Propre comme un sous neuf, tu l'abandonnas avec remords tout en léchant l'excédant de rosée d'amour qui ornait tes lèvres. Tu disparus de mon champs de vision alors que mon sexe battait l'air dans le vide. Une incommensurable frustration m'envahit et je commençais à me faire un film dans ma tête. Peut-être que ton homme avait changé d'avis ? Peut-être qu'il ne voulait plus que tu te fasses baiser par un autre ? Toutes ces pensées négatives avaient eu raison de mon érection. Mon sexe n'étais plus qu'un petit bout de chair flasque et inutile. Je ruminais comme cela pendant de longues minutes et lorsque tu réapparus, suivie par ton chéri, il s'était bien écoulé un bon quart d'heure. Tu es venue t'asseoir à côtés de moi, mais perpendiculairement, avec à peine une demie fesse posée sur le bord du canapé, les jambes serrées l'une contre l'autre, presque l'une sur l'autre, les mains sur tes cuisses. Quelque chose en toi avait changé, tes aréoles étaient gonflées, tes tétons pointaient anormalement et lorsque nos regards se croisèrent, tu parus gêner. Ton chéri, tout proche, paraissait ravi de la situation mais ce qui me parut bizarre c'est qu'il n'y avait aucune trace de champagne. Te voyant mal à l'aise, je te demandais si tout allait bien. Tu me fis un signe de tête puis d'une petite voix chevrotante me dit : "Oui, t'inquiète pas, tout va bien, mais je. . . . ". Tu t'interrompis, brusquement et tes lèvres se serrèrent pour étouffer un gémissement. Avec un sourire crispé, tu me chuchotas : "Ce n'est rien". Puis une secousse parcourut ton corps et là, tu te cambras et ne pus réprimer un souffle. Je fus intrigué par tes convulsions, tu te tenais extrêmement raide et le bout de tes seins étaient contractés. A tout instant, tu lançais à la dérobée un regard suppliant à ton chéri. Sans savoir ce qu'il se passait réellement, j'étais maintenant excité et mon sexe reprenait vie. Tu sursautas à nouveau et je remarquais la chair de poule sur ta peau. Jouant de ton mal-être, je posais ma main sur ta main qui était elle même posée sur ta cuisse et te demandais si tu avais froid. Tu acquiesças mais il était clair que c'était autre chose. Une autre secousse te cueillit, tu glissas du canapé et te retrouvas à genoux, puis tu te recroquevillas sur toi même, te laissant basculer sur le tapis. Ton chéri t'a intimé l'ordre d'écarter les cuisses. Obéissante, tu te mis sur le dos et relevas les jambes. De tes orifices, dépassaient deux tiges roses. Je compris tout de suite que ton homme contrôlait ton plaisir par l'intermédiaire de jouets vibrants commandés par une application dans son smartphone. Cela te provoquait visiblement des transes que tu ne pouvais maîtriser. S"adressant à moi, il dit : "Ces trucs la rende dingue, elle peut jouir en quelques minutes". Et il me tendit son téléphone avec un petit air malicieux en poursuivant : "Amusez-vous bien, je vais réellement m'occuper du champagne maintenant". Avant de s'éclipser, il me tendit son téléphone et tes yeux s'illuminèrent quand tu vis que ta jouissance se tenait entre mes mains. Offerte, cuisses grandes ouvertes, tu avais perdu toute pudeur. Le plaisir avait raison de ta honte. Je ne pus résister plus longtemps et t'envoyais ma première salve de vibrations à faible intensité. Je te regardais frétiller à mes pieds, appuyant fortement tes mains sur ton sexe. Après t'avoir laisser trois ou quatre secondes de répit, je recommençais, mais cette fois-ci avec des vibrations de force moyenne. Une fois, deux fois, trois fois. . . . .Puis se fut au tour des vibrations en position maximum. C'était extraordinaire de te voir réagir au moindre effleurement de ce smartphone. Je t'entendais gémir, haleter, entièrement à ma merci. De temps en temps, tu ouvrais les yeux, mais c'était pour m'offrir un regard révulsé par le plaisir. De ta bouche, entre deux râles, le seul mot qui sortait était un non prolongé. Un des ces non qui veulent dire oui encore. Autoritaire, j'écartais tes mains qui couvraient ton sexe. Je voulais voir les détails de ta jouissance. Celle-ci est venue très vite et lorsque l'orgasme éclata en toi, tu expulsas de ta chatte et de ton cul ces deux intrus vibrants. J'étais dans un état d'excitation intense. T'étant recroquevillée sur toi même, je te caressais le visage et les cheveux tendrement puis m'approchais de ton oreille pour te murmurer : "Tu es trop belle dans la jouissance"., avant de déposer un doux baiser sur ta joue. Ce fut le moment où ton chéri réapparut dans l'embrasure de la porte du salon. Il déposa les verres et le saut à champagne sur la table basse et entreprit de faire le service. Après avoir émergée, tu repris ta place à côté de moi sur le canapé alors que ton homme, après nous avoir servi, s'installa dans un fauteuil. Cette petite pause fut la bienvenue pour tout le monde, sauf peut-être pour moi qui n'avais toujours pas baiser la maîtresse de maison. Alors que tu félicitais ton chéri pour sa bonne idée de cadeau d'anniversaire, tu attrapas mon sexe toujours en érection et t'exclamas : "T'as vu mon Amour, il n'a pas débandé. Il est dans le même état que moi, et pourtant moi, je viens de jouir mais j'ai encore envie. De voir cette queue qui bande pour moi, ça me fait mouiller grave, je suis encore trempée". Puis tu te levas, te précipitas vers ton chéri et l'embrassa longuement. Pour ce faire, tu t'étais penché en avant m'offrant la vision de ton cul bien joufflu. Puis à mon intention, tu écartas largement tes jambes et je vis ta petite rondelle toute fripée et ta chatte luisante de mouille. Tu n'avais pas menti, ta cyprine avait même graissé l'intérieure de ton entrecuisse. En arrière plan, je voyais ta main s'agiter sur le braquemart de ton mec. J'entendais ses grognements de plaisir étouffés par ton baiser. Tu te dégageas de lui, regardas le résultat de ton travail et satisfaite par cette belle érection, tu revins vers moi et repris ta place à califourchon sur mes cuisses comme précédemment. J'eus également droit à un baiser puis tu te redressas, empoignas ma queue plaquée contre mon ventre, l'inclina vers toi, approchas ton sexe au dessus du mien, caressas quelques instants ton clito avec le gland puis descendis inexorablement sur ma tige. J'attendais ce moment depuis trop longtemps alors je ne pus retenir un feulement rauque et tout mon corps se mit à trembler. Assise sur moi, ma queue au plus profond de ta chatte, tu savouras cette venue avec délectation. Je ne pus résister au plaisir de malaxer tes seins que tu exhibais fièrement sous mon nez. Tu montais et descendais lentement sur ce pal. Tu avais la sensation qu'un tison brûlant te transperçait les entrailles. Tu sentais le renflement du gland te labourer à chaque monté et moi je découvrais la chaleur de ton fourreau de soie. Lorsque tu accéléras le mouvement de doux clapotis résonnèrent à nos oreilles, bientôt accompagnés du claquements de tes fesses sur mes cuisses. Je sentais ta mouille dégouliner sur mes couilles, ce qui me fit bander encore plus fort. Tu accéléras encore le mouvement et nos gémissements résonnèrent dans toute la pièce. Ta jouissance était proche, c'est alors que je te saisis par la taille et te soulevais pour désunir nos corps. Ta frustration fut énorme, tu grognas telle une bête à l'agonie, retombas sur mes cuisses, contre mon sexe tendu comme un arc. Tu ne pus t'empêcher de te frotter contre lui. Grandes lèvres et nymphes, largement écartées, trou béant, clito dressé, tu ahanais ton plaisir. La jouissance te laissa pantelante et frémissante. Sans te laisser une seconde de répit, je te repris par les hanches, te soulevais et te ré-empalais. Tu accueillis ce monstre par un cri affolé, la bouche grande ouverte, les yeux exorbités. Embrochée sur ma queue, je me levais du canapé. Encore dans les brumes de ton orgasme, instinctivement, tu t'accrochas à mon cou. Ainsi accouplés, je me dirigeais vers la grande table mais mes mains qui te soutenaient par les fesses glissaient au contact de l'abondante mouille. pour te rattraper, je fis un bond qui te projeta en hauteur te désarçonnant et lorsque tu retombas de tout ton poids sur ma queue, je sentis mon gland s'écraser au fond de ton vagin, contre le col de ton utérus. Ta réaction fut instantanée, un feulement bestial s'échappa de ta bouche et tu te mis à trembler de tout ton corps. Arrivés à hauteur de la table, je t'allongeais sur celle-ci, les fesses au bord. Ta poitrine se soulevait au rythme de ta respiration ce qui eut pour effet d'attirer ma bouche vers tes seins. Je les pris tour à tour en bouche. ils étaient d'une douceur extrême et d'un moelleux charnel. Il me semblait qu'il étaient plus volumineux que lors de notre rencontre sous la douche. Tes aréoles étaient renflées et tes tétons érigés et tout durs. Tour à tour, je les mordillais et les aspirais tellement fort que les mamelons disparaissaient dans ma bouche. A forer de succions, tu sentis tes seins gonflés, avec la sensation de te faire traire. Tes gémissements me faisaient redoubler de passion. Tu te tendais vers ma bouche, tes mains se crispaient dans ma chevelure. Et puis je finis par quitter ta poitrine en quête d'autres trésors. Ma bouche cheminai sur ton ventre, s'attardant sur ton nombril, poursuivant on chemin sur ta jambe, ton pied, tes orteils, déposant des baisers, des caresses de-ci, de-là puis remontais, poursuivant son chemin sur ton autre jambe. Je me nourrissais de ta beauté, de ta sensualité, de ton abandon. Excité au plus haut point, je m'accroupis entre tes cuisses, saisis tes chevilles et positionnai tes pieds sur mes épaules, tout en m'enivrant des tes fragrances intimes. Je n'avais plus qu'une envie, te dévorer. Alors je plongeai entre tes cuisses et lapai cette délicieuse mouille. L'effet ne se fit pas attendre, une contraction me secoua, engluant encore un peu plus ma bite. Je scrutai attentivement ta chatte trempée, et pour en voir les moindres détails, je lissai tes petites lèvres de chaque côtés. Je pus voir ainsi l'orée de ta faille et lorsque l'idée me prit de souffler dessus, un frisson la parcourut. Prenant vie, elle s'ouvrit, arrondissant ta fente qui format un trou béant. lorsqu'elle se referma, elle éjecta son trop plein de cyprine que je m(empressai de déguster. Un peu plus haut, ton méat urinaire bien visible puis enfin, au dessus, trônant comme sur un piédestal, ton majestueux clitoris. En l'état, il ne se cachait point, bien au contraire, il s'érigeait, totalement décalotté, fier, arrogant, luisant, violacé et prêt à vibrer. J'en prenais plein les yeux, quel spectacle tu m'offrais là. Et ton souffle, que j'entendais plus profond, plus bruyant et qui décuplait mon plaisir. Cette petite séance gynéco ne te laissait visiblement pas indifférente. Tu te sentais fouiller par mon regard et cela participait à ton plaisir. Ton cerveau était en ébullition, tu te trouvais tellement impudique ainsi exposée, et le fait d'y ressentir du plaisir, t'horrifiait. Probablement les restes d'une éducation puritaine refaisant surface. Tu te dis qu'il fallait quand même être une sacré salope pour se laisser examiner aussi intimement par un inconnu. Plus les minutes s'écoulaient ainsi exposée et plus tu pensais que seule une chienne en chaleur pouvait se comporter ainsi. Et le résultat ne se fit pas attendre, sans aucune intervention de ma part, je vis ton trou s'arrondir, expulsant à nouveau son trop plein de cyprine. Preuve s'il en fallait que la pensée est le plus puissant aphrodisiaque jamais produit. La honte te repris lorsque tu sentis ta mouille couler entre tes fesses, graissant au passage ton trou du cul. Voyant que celle-ci allait finir à terre, à l'aide de deux doigts, j'entrepris de bien l'étaler sur toute la longueur de ta raie, en insistant tout particulièrement sur ton petit œillet qui palpitait également au rythme de tes contractions. A présent, tu avais les joues en feu, tu ne pensais plus à rien, ton cerveau s'était déconnecté, tu étais dans ton jardin secret fait de plaisir et de stupre. Ni tenant plus, sans prévenir, je plongeai ma langue dans ton antre. Je me frayais un chemin en terrain glissant, ta mouille dégoulinant dans ma bouche.J'étais au paradis. A mes oreilles, remontaient tes gémissements. Puis un doigt la remplaça afin de rechercher ce point qui te ferait défaillir. Je le trouvai à quelques centimètre de l'entrée, à peu près derrière ton clito, un peu en dessous. Je le reconnus de suite à sa texture légèrement rugueuse. Je concentrai donc ma caresses sur cette petite zone et après quelques minutes, la délivrance n'était plus très loin. De tes mains tu agrippas les côtés de la table, tes fesses se soulevèrent puis ton râle de jouissance résonna dans toute la maison. Arquée, les muscles tendus à l'extrême, tu restas ainsi figée le temps d'un éclair puis tu retombas, anéantie, vaincue mais envahie par d'innombrables secousses. Ton homme qui n'avait rien loupé de la scène depuis son fauteuil s'approcha. Tu ne remarquas même pas tellement ton plaisir avait été foudroyant. Tu étais tellement belle dans la jouissance que je ne pus te laisser bien longtemps tranquille. Évitant les zones encore trop sensibles pour le moment, je décidais donc de glisser un doigt entre tes fesses pour taquiner ton anus. Ton chéri s'empressa de saisir tes jambes qui pendaient hors de la table. Revenant à toi, tu découvris donc ton chéri ramenant tes cuisses contre ta poitrine puis tu sentis mon doigt qui glissait entre tes fesses. Imaginant ce qui allait t'arriver, tu tournas la tête vers ton homme, et l'agitas en signe de négation avec un air suppliant. Ne voyant aucune réaction de sa part, tu l'interpellas : " Oh non chéri, pas ça, c'est trop intime. C'est juste entre nous, pas par un inconnu". Voyant ton trouble, il caressa ton visage, dégagea une mèche de tes cheveux et déposa un baiser sur tes lèvres puis dit : "Je crois que c'est le bon moment pour franchir le pas, tu adores te faire enculer alors je ne vois pas où est les problème. Oui je sais bien, ta foutue éducation qui te bloque et quand quelque chose te parait pas morale, un sentiment de honte t'envahit. Tout cela je le sais mon Amour; mais je sais aussi que se sont les moments où tu jouis le plus fort". Sans vraiment t'en rendre compte, tu avais saisir tes jambes derrière les genoux, ce qui eut pour effet de surélever et d'ouvrir tes fesses. La position idéale pour une bonne défonce. D'ailleurs, tu sentais l'air frais caressé ta raie, elle s'engouffra même dans les profondeur de ton cul et tu en déduisis, honteuse, que ton petit trou devait être horriblement ouvert. Je me concentrais donc sur ton petit cratère. Je tournoyais tout autour, puis passais dessus, j'accentuais la pression, faisais mine de pénétrer puis renonçais. Déjà tu commençais à gémir et ton chéri te le fis remarquer : "Tu vois bien que ça te plait". En même temps, il caressait tes seins et commençais à s'attaquer à tes tétons. Depuis ce matin, ils avaient tellement été caressé, malaxé, sucé, aspiré, mordillé, pincé, étiré, vrillé, martyrisé qu'ils en étaient maintenant douloureux et malgré tout, tu ne pus réfréner un soupir de plaisir. Et puis ce doigt qui te rendait dingue depuis cinq bonnes minutes. Il faisait mine de s'introduire mais quand tu sentais que ton sphincter allait l'avaler, il rebroussait chemin. Cela te rendait folle et tu commençais à perdre pied quand tu entendis : "J'en peux plus, vas-y, pénètre dans mon cul, je le sens grand ouvert". Lorsque tu te rendis compte que ces mots sortaient de ta bouche, une bouffée de chaleur t"envahit et tu sentis des contractions au niveau de ta chatte et de ton trou du cul. L'effet fut dévastateur, des coulées de cyprine s’enchainèrent au rythme des ces pulsations jusqu'à inonder tout sur leurs passages. Pour ajouter à ta pâmoison, je répondis à ta supplique : "Pour être ouvert, il est ouvert. Si tu voyais ta rondelle comme elle est dilatée. Un vrai trou du cul de salope". A ces mots, la honte t"emplit les yeux de larmes. Ce fut le moment que je choisis pour t'introduire deux doigts. Pour être plus à l'aise dans mes mouvements, je me mis debout, de côté, majeur et annulaire dans ton cul. Une fois bien au fond, je commençai à les agiter de haut en bas, doucement au début puis de plus en plus rapidement. Voyant que tu appréciais, je plaçai mon autre main au niveau de ton bas ventre pour te maintenir fermement contre la table et appuyai le pouce sur ton clitoris que je me mis à caresser. Toujours actif dans ton cul, j'accompagnai le mouvement de mes doigts avec un mouvement vertical de mon bras. Je sentais ton sphincter largement ouvert, ce qui permettait une amplitude de mouvement assez incroyable. combinant à cela des va et vient, j'obtins un mouvement circulaire dans ton cul. Je ne te contrôlais plus, tu nous offrais ton plus beau chant et quand mon pouce se mis à s"agiter sur ton clito, tu perdis toute retenue, tu lâchas tes jambes, redressas ton buste, empoignas les bords de la table et et donna des coups de rein pour t'empaler encore plus fort sur mes doigts. Ce traitement ne dura pas très longtemps, tu fus prise d’incontrôlables spasmes et ton chéri eut beaucoup de mal à te contenir. Anéantie, tu récupéras dans les bras de ton homme. Sortant de ta léthargie, tu décidas d'aller prendre une douche pour te remettre de toutes ces émotions. Pendant ce temps là, nous étions ton homme et moi confortablement installés dans les fauteuils avec un verre de champagne à la mains et élaborions un dernier petit scénario. Lorsque tu sortis de la douche, un grand sourire aux lèvres, tu allas directement vers la table, t'installas dessus, assise en tailleur et nous interpellas : "Alors les petits joueurs, vous êtes fatigués ?". Sourire aux lèvres, nous nous dirigeâmes vers toi. Ton chéri te t'attira à lui, te fis mettre pied à terre en et dit : "Comme ça, ma petite salope à encore faim ?. Ce à quoi tu répondis : "Hum, j"ai une faim de louve". il t'enlaça et t'embrassa. Quand tu sentis son membre se redresser contre ton ventre, tu fus toutes émoustillée. Alors il glissa une main entre tes cuisses, te caressa délicatement, s'accroupit et te lécha l'entrecuisse. Tu désiras remonter sur la table et repris la même position, si ce n'est que que cette fois-ci tu déposas tes pieds sur le bord, au niveau de tes fesses, puis attrapas tes chevilles avec tes mains. Ainsi offerte, ton chéri replongea entre tes cuisses. Il te connaissait par cœur et ne mis pas longtemps à t'arracher tes premiers soupirs, puis vinrent tes premiers gémissements. je ne pus résister au doux chant de ton plaisir et me positionna à côté de toi. Tu lâchas une de tes chevilles, la posas sur l'épaule de ton chérie et de ta main libres, empoignas mon membre. Tu le masturbas, il il ne mit pas longtemps à retrouver sa vigueur. J'avais une vue plongeante sur ta poitrine mais je décidai de juste l'effleurer du bout des doigts, tes tétons ayant déjà beaucoup donnés pour aujourd'hui. Tu m'en fus reconnaissante et tu prononças ces mots d'une voix haletante : "Oh oui comme ça, tout doux, mes tétons sont trop sensibles maintenant". Puis ton souffle se fit plus bruyants, la tête basculait à droite, à gauche au gré de ton plaisir, tes paupières se refermaient dans un râle plaintif Tu tenais toujours ma verge turgescente mais sans vraiment t'en rendre compte. L'orgasme était proche, tes orteils se tendaient. Tu lâchas ma queue pour t'arrimer à la table. Se relevant, ton chéri me fit signe et je pris sa place comme prévu. Lorsque sa bouche quitta ta chatte trempée, tu émis un "ohhhhh" de déception. J'avais une trique énorme de te te voir et de t'entendre dans le plaisir et j'eus des difficultés à incliner ma queue à l'horizontale afin de te pénétrer. Avant, je fis quelques aller retour sur toute la longueur de ton sexe, incluant ton anus dans le jeu. Tu poussas un râle de satisfaction alors je fis pénétrer mon gland dans ta chatte. Elle était toute douce, toute chaude et toute engluée. lorsque ma queue pénétra plus en avant, je vis tes mains se crispées sur autour de tes chevilles et un grognement rauque sortit de ta bouche. Tu releva la tête pour voir l'avancé de ce pieu dans tes entrailles. le spectacle ne te laissa visiblement pas indifférente puisqu'une coulée de cyprine ruissela jusqu'à ton anus. Lorsque mes couilles butèrent contre ton périnée, je fis marche arrière, tout aussi lentement et lorsque mon gland arriva en début de course, tu pensa que j'allais repartir en avant, mais il n'en fut rien, je sortis complétement de ton sexe. Libéré, il vint frapper mon ventre. Je dus forcer à nouveau pour le frotter contre ta chatte et ta rondelle. Je fis même semblant de t'enculer mais con ton trou du cul était tellement graissé et ouvert que je crus que tu allais avaler mon gland. J'évitai de justesse le gobage et repris mon travail de sape sur ta chatte et ton clito. Sans te prévenir, je me réintroduisis en toi mais cette fois-ci plus énergiquement. Ta chatte me gratifia d'un son terriblement excitant "Slurp". Il faut bien avouer que nous produisions tous les deux tellement de mouille qu'elle crachait abondamment ce liquide visqueux. Maintenant, je te saisissais par les hanches et commençais de t'honorer de mes coups de rein. J'allais en toi avec la précision d'un métronome, si bien qu' à la fin tu finis par craquer. Ta tête bascula en arrière alors que tu nous chantais la litanie des aaaaaah. J'accélérais crescendo mes va et vient jusqu'à te pilonner allégrement. Le plaisir grondait en toi, tu n'avais plus la force de tenir tes chevilles, tes jambes pendaient dans le vide. Ton chéri me signe, il était tant de conclure en apothéose. Toujours empalée sur ma queue, je te relevais et te basculais sur moi. Tu t'accrochas à mon cou, je mis tes cuisses sur mes avant bras, soutenant tes fesses de mes mains. je m'éloignai de la table et ton chéri se plaça derrière toi. Au comble de l'excitation, il présenta sa queue à l'entrée de tes reins. J'essayai tant bien que mal de lui facilité la tache en t'écartant les fesses, mais il eut beau forcé, tu ne t'ouvris pas assez. Il faut dire que ma verge dans ton vagin ne facilitait pas sa pénétration. Je décidai donc de me retirer et te présentai ainsi à ton chéri. Dans mes bras, tes pieds croisés sur mes fesses, je vis ton visage se transformé. Tes yeux exorbités, ta bouche grande ouverte de laquelle ne sortait aucun son me confirmaient la chose. Le gaillard avait eu raison de ton petit trou. Lorsqu'il reprit son avancé, l'affolement se lut sur ton visage. La progression cessa, tu étais embrochée par le cul sur la queue de ton chéri. Ton corps se relâcha petit à petit, ton visage aussi, tes yeux se fermèrent, tu étais en train de savourer la grosseur qui te remplissait le cul. Toujours accrochée à moi, tu bougeas par petites secousses pour tenter de t"empaler encore un peu plus. Tu te mordis les lèvres, ta respiration se fit plus courte, tu avais accepté cette intrus et ton plaisir commença à monter. Ce fut l'instant où ton chéri te saisit les jambes derrière tes genoux et t'arracha à moi. Pour éviter de basculer sur l'avant, tu t'accrochas à son cou en ramenant tes bras vers l'arrière. Lorsqu'il te représenta à moi, tes cuisses largement ouvertes que j'allais te prendre par devant. Tu ne t'étais encore jamais fait prendre en double et l'idée te terrifia autant qu'elle te t'excita. Je m'accroupis et la vision de ton cul me troubla. Tu étais pénétrée jusqu'à la garde et en voyant ton anus tout distendu, je compris mieux ta réaction lorsqu'il avait élargit ton trou du cul. J'embrassai ta petite chatte et pus constater que tu étais toujours bien crémeuse. Je jouai un instant avec tes nymphes, les aspirai, les pinçai légèrement entre mes lèvres. En les écartant, je découvris ton méat urinaire qui me parut plus visible que précédemment. Peut-être était-ce le fait que tu sois enculer par une grosse queue ? j'eus envie de le lécher pour lui apporter une petite douceur. Une fois fait, je fus surpris de voir que tu te détendais au point que celui-ci s'écarquillait davantage. Une perle de pluie apparut, je m'empressais de la savourer. Mais l'objet de tous mes désirs à cette instant n'était autre que ton clito et, lorsque je le pris en bouche, tu m'encourageas avec un grand "Oooh ouiiiiiiiiiiiiii". Je l'aspirai en bouche et commençai un travail de succion comme si je le tétai. Ça te rendis folle, la cyprine coulait à flot, engluant largement tes fesses et les couilles de ton homme. Lorsque je me relevai, je vis tes yeux briller, plus aucune crainte se lisait sur ton visage, au contraire, je sentis l'impatience de découvrir les sensations de deux sexes en toi. Tu ne pouvait quitter ma queue du regard. Je pliai donc les genoux et lorsque mon gland effleura l'entrée de ta grotte, tu frissonnas. Je dus forcer un peu, le pieu qui distendait ton cul, resserrait bien évidemment ton vagin. Mais bien vite l'entrée céda, mon gland disparut, suivi de toute ma queue. Tu l'accueillis avec un grand "Aaaaaahhh" puis te mordis les lèvres tellement la sensation te bouleversait. Aucune douleur, envolées toutes les appréhensions, juste la sensation d"être possédée pleinement, totalement. D'ailleurs tu pris tes aises, tu raccrochas tes jambes à ma taille et tes bras autour de mon cou. Ton chéri en profita pour te saisir par les hanches et commença ses va et vient, d'abord doucement, lentement. Tu sentais cette bite monter et descendre dans ton cul alors que tu étais complétement remplis par devant. La sensation fut si forte que tu crus défaillir et lorsqu'il accéléra le mouvement, te pilonnant sans ménagement, tu pris un pied d'enfer. Sentant l'éjaculation toute proche, il te donna un grand coup de rein pour t'empaler le plus profondément possible et ne bougea plus. Ce dernier coup de bite te sabra littéralement. Tu suffoquas, bouche grande ouverte cherchant de l'air. Je te laissai reprendre ton souffle pendant que ton chéri, pour facilité l'amplitude de mes coup de rein remit ses mains derrière tes genoux, ce qui te fit légèrement basculer sur lui. Lorsque j'ai commencé mes va et vient, ce fut plus fort que toi, tu te mis une main devant la bouche pour étouffer tes vocalises. Cette queue dans ton vagin te paraissait énorme. Cela te ramena quelque année en arrière lorsque ton fourreau était encore très étroit. Cette sensation de sensation de plénitude te ravit. Mes coups de rein qui se faisaient de plus en plus rapides, de plus en plus puissants, étaient accompagnés par des clapotis et je sentis toute cette mouille dégouliner sur mes couilles. Tu tendis tes bras, arrimas tes mains à mes épaules et cria : "Oh oui, oui, je vais jouir". Transcendé par ta réaction, ton homme te murmura à l'oreille : "Mais oui ma Belle, vas-y jouit, jouit encore et encore" et il reprit ses va et vient. Cette fois-ci, nous te baisions en mêmes temps. Pendant que je te pénétrais, lui se retirait et inversement, quand il te pénétrait, je me retirais. Nous avions pris la cadence. Défoncée ainsi, tu explosa en plein vol, l'extase totale. Je sentis tes ongles marqués ma chair puis ton corps fut comme pétrifié, dure comme de la pierre et même dans cet état, tu étais encore pleinement consciente. Tu sentais ces deux énormes pieux de chair te labourer les entrailles et les reins. Pour finir, nous primes le même rythme, nous te pénétrions et nous nous retirions en même temps. Tu n'étais plus qu"une poupée de chiffon entre nos deux corps. Et puis les ahanements rauques de ta jouissance résonnèrent à nos tympans lorsque tu sentis simultanément de puissants jets de foutre brûlants arroser les profondeurs de ta chatte et les abîmes de tes reins. Entre nos corps, tu continuais de vibrer, pantelante, inconsciente et vidée. Nous mîmes un moment à nous remettre de ces émotions, toi allongée sur le canapé et ton homme et moi dans les fauteuils. Un peu plus tard, une une bonne douche nous revigora avant d'aller au restaurent. Nous l'avions bien mérité.Adorable Chatmignon, j'espère que t'aura laissé ruisselante de désir et que Mr Chatmignon profitera bien de la situation. Amusez-vous bien. A bientôt. Bisous coquins.
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Lezizoudu11
31 août - 10h56
Superbe poitrine très excitante 🤤
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Yoyo4902
30 août - 07h37
Jolie paire de seins a têter😍😍

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steph90
29 août - 20h36
Magnifique seins à caressé sans modération les câliné les chouchouter je les embrasse et je les caline 💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋💋


















❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️




















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Fangio22
29 août - 15h48
Quel corps!!! Quelle poitrine magnifique!!! Qui ne banderait pas à la vue de ce délicieux spectacle!!!
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Belami
29 août - 14h14
Merci pour cette dédicace Chatmignon, elle me va droit au cœur et pas que. Tu t'en doutes, tu ne me laisse pas indifférent, alors, je savoure d'autant plus l'attention. L'effet sur moi est immédiat, je bande à nouveau pour toi et d'ailleurs, j'aimerai beaucoup t'en faire profiter et te montrer mon sexe qui se tend vers toi. Si tu désires le voir, fait moi le savoir, je pourrai faire quelques clichés. En attendant, je vais poursuivre ce récit qui ne t'a pas laissé indifférente, d'ailleurs j'aimerai beaucoup en savoir plus. Je fais au plus vite pour encore plus de belles sensations. A très vite. Bisous. P.S. Je suis également très impatient de voir ton nouvel album dans la rubrique couple et suis sûr qu'il va me donner pleins d'idées brûlantes.
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paul1453

De superbes seins qu'on ne peut qu'admirer et se laisser douceur envahir par le désir hummm
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Petitlu
29 août - 12h25
Magnifique poitrine très sexy et de toute beauté ❤️ ❤️ ❤️ ❤️ ❤️
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matte081988.
29 août - 12h21
Coucou magnifique tu as des seins très jolie bien rond comme j'aime. Gros bisous 😚 😚
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doubo
29 août - 11h24
Bonjour, tes seins sont magnifique et ton corp l'est tout autant
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Anonyme
29 août - 11h23
Bonjour, tes seins son magnifiques et ton corp l'est tout autant.
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Gemo87
29 août - 11h09
Poitrine superbe et envoûtante
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Anonyme
29 août - 10h34
je les trouve splendides, avec de jolies tétons à s'occuper 😊
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Julyon69
29 août - 10h04
Tu as des seins magnifiques !
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thomthom1977
29 août - 09h46
Très beaux gros seins naturels et doux
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Tichodrome24
29 août - 09h16
Coucou! Mmmmmm... Quelle belle & excitante poitrine... J'Adore la mater & me "projeter"...;-) dessus!!
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mickey1970
29 août - 08h31
De très beaux nichons à caresser et de magnifiques tétons à sucer.
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Bucheron44
29 août - 08h12
Toujours un bonheur de regarder vos albums ! J'adore merci.. c'est tellement sexy et d'une douceur 😋
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Broly
29 août - 07h46
Bjr et c'est un vrai plaisir pour les yeux bisous 💋💋💋💋💋💋💋
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Éricoupe75
29 août - 07h43
Hummm quel jolie paire de seins
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Coquin23
29 août - 07h20
Tes seins sont sublimes 😍. Lourds qui tombent un peu une forme délicieuse des tétons merveilleux. Tu fais monter la température de mon corps. Envie de te rejoindre pour les embrasser les lécher les pétrir sucer tes tétons te prendre avec passion pour les faire balloter.... merci pour tes photos. Écrit moi si tu veux. Bisous sur tes sublimes seins 😘
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Ninnin77
29 août - 07h15
Très jolie poitrine a caresser délicatement
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Epicure_Nature
29 août - 06h51
Hummmm love your boobs 😍
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nouveau13
29 août - 06h49
Hmmm très jolie poitrine et corps j'aimerais bien m'en occuper pendant des heures les caresser masser mordiller tes tetons etc etc etc vas voir mes albums et me laisser un commentaire bisous sur tes seins et partout ailleurs sur ton corps de déesse n'hésite pas si tu veux échanger avec moi ♥️♥️❤️❤️😍😍😍😘😘😘😘❤️❤️❤️💋💋💋💋💋💋🔥🔥🔥🔥🔥🔥🌶️🌶️🌶️🌶️🌶️🌶️
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gm87
29 août - 06h23
Vraiment magnifique cette poitrine 😍😍
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Marcoemi57
29 août - 06h15
Magnifique poitrine j'adore 💞 💞 💞
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Cyril7764
29 août - 06h09
C est toujour un plaisir de voir cette poitrine et ce corps qui ne me laisse pas indiferant. Merci a vous pour le partage de ces belles images





























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Frankdu19
29 août - 05h44
En attendant cette suite, je me plais de regarder tes jolie seins, bien proportionné et tellement desirable.
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eric23
29 août - 05h07
quelle poitrine sublime j'adore
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Charl80
29 août - 04h41
Tes seins dont magnifiques avec de jolies tétons 💋💋💋
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Finisterien29
29 août - 03h56
Bonjour, bises. Très belle poitrine aux mamelons terriblement sensibles!
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rafa25
29 août - 03h17
Je passerais des heures à sucé tes jolis seins ma belle
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Vix44
29 août - 01h57
Bonjour tu poses une très jolie poitrine, j’aimerais bien venir me branler entre tes seins et jouir tout mon sperme sur ton corps
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FabBB
29 août - 00h34
Magnifique!!! Joli galbe, dotée de Superbes aréoles surplombées par desTétons qui ne demandent qu'à s'exprimer... Hummm, ça me donne Envie d'attraper fermement ta Poitrine pour l'effleurer de mes lèvres , la caresser , mordiller , titiller ses Tétons afin de connaître sous mes assauts sa Sensibilité... Devant cette vision idyllique , brûlant de désir , je collerai ma queue bien dure, bien raide, tendue comme jamais entre tes deux Merveilles que tu serreras fermement pour me masturber . Ne pouvant plus résister aux va et vient de tes seins exercés sur mon membre , sachant que tu es sur le point de me faire jouir , tu saisiras fermement ma bite dans ta main , prête et fermement décidée à recevoir ma semence , dans une ultime étreinte manuelle j'exploserai pour te délivrer de longues et puissantes giclées de sperme bien chaud faisant frémir ton Envoûtante poitrine à chaque impact reçu.Hummm... N'hésite pas pour me faire connaître ton opinion, j'en serai vraiment ravi 💋💋💋 FabBB
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Gourmand 40
11 septembre - 17h37
Hummm. Superbe poitrine dont je m'occuperais volontiers. Et bien plus suivant les désirs de madame. Tu es sublimement excitante
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Mike 332
6 septembre - 09h49
Magnifique, ça donne envie 

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